Quelques nouvelles, début novembre 2013

Voici quelques nouvelles que Léonard Zoungrana, Président du Comité Communal de Jumelage de Koupéla nous a fait parvenir avec quelques photos.

 

Les élèves de l'école Pognini (ex. secteur 5) devant la cantine.

Les élèves de l’école Pognini (ex. secteur 5) devant la cantine.

 » Les élèves des écoles de Pognini(291 élèves), de Koupéla- Est (619) et de Grigny (616) bénéficient des repas tous les lundi ,mardi, mercredi et vendredi¹ sur financement du comité de jumelage de Grigny. Cet apport a un impact très important sur la fréquentation et surtout sur le rendement scolaire des élèves. Lors de notre récente visite, les élèves , leurs parents et les enseignants ne cessent de témoigner leurs reconnaissances pour cette initiative combien salutaire.

les enfants avec leur gamelle de riz sauce.

 

Léonard Zoungrana au milieu des enfants de l'école Pognini.

Léonard Zoungrana au milieu des enfants de l’école Pognini.

 

 

 

 

 

 

 Programme spécial de création d’emplois dans les communes de la province du KOURITTENGA

 A l’instar des autres communes du Burkina , les communes de la province se sont engagées à recruter des jeunes et des femmes pour des travaux de Haute Intensité de Main-d’œuvre (HIMO) . Cette nouvelle initiative vise à créer des emplois au profit des couches vulnérables de la population.

Cette politique gouvernementale est une stratégie de lutte contre la pauvreté . Ceux qui ont été recrutés sont au total 2900 sur toute l’étendue de la province et s’occupent essentiellement de l’assainissement des places publiques comme le font les femmes de l’association WUM-TAABA². La durée du contrat est de trois mois.

Aussi bien les milieux urbains que les zones rurales sont devenus propres . Puisse cette initiative être reconduite , car partout un changement notoire s’est opéré. »

Léonard ZOUNGRANA/ Président du Comité Communal de Jumelage à Koupéla

¹  – Au Burkina les classes vaquent le jeudi comme en France il y a plus de 40 ans.

² – Cette opération semble différente de celle que mènent les femmes de l’association Wum Taaba qui ramassent les déchets dans un certain nombre de lieux publics. D’ailleurs aucune d’entre elles n’a été recrutée.

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